En 2025, Ethereum (ETH) devient l'actif central de la compétition pour le capital institutionnel, avec des géants de Wall Street tels que BlackRock et JPMorgan qui accélèrent leur déploiement, plus de 1,7 million d'ETH (d'une valeur de 5,9 milliards de dollars) étant intégrés dans les réserves stratégiques rien qu'au cours du deuxième trimestre. Cette tendance découle des "trois avantages" de l'ETH : premièrement, sa rareté en tant que "pétrole numérique" de l'économie on-chain, avec un taux de déflation nette annuel atteignant 0,1 % sous le mécanisme EIP-1559, des rendements de staking atteignant 2,1 % et sans risque de contrepartie ; deuxièmement, le marché de la tokenisation des actifs réels (RWA) et des stablecoins représentant respectivement 57 % et 54 % des parts, devenant le noyau de l'infrastructure financière on-chain ; troisièmement, la vague de fonds des ETF, avec un afflux net de 224 millions de dollars dans le BlackRock ETHA ETF en un jour, pour une taille totale proche de 9,8 milliards de dollars, la part des institutions dans les holdings s'élevant à 27 %. Sur le plan technique, la mise à niveau de Pectra renforce l'évolutivité, et la feuille de route du sharding pave la voie à une capitalisation boursière de mille milliards de dollars. Les institutions estiment que l'ETH possède à la fois des attributs d'"actif productif" et de résistance à la censure, et qu'il est en train de se transformer d'un actif spéculatif en pierre angulaire du prochain système financier.
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En 2025, Ethereum (ETH) devient l'actif central de la compétition pour le capital institutionnel, avec des géants de Wall Street tels que BlackRock et JPMorgan qui accélèrent leur déploiement, plus de 1,7 million d'ETH (d'une valeur de 5,9 milliards de dollars) étant intégrés dans les réserves stratégiques rien qu'au cours du deuxième trimestre. Cette tendance découle des "trois avantages" de l'ETH : premièrement, sa rareté en tant que "pétrole numérique" de l'économie on-chain, avec un taux de déflation nette annuel atteignant 0,1 % sous le mécanisme EIP-1559, des rendements de staking atteignant 2,1 % et sans risque de contrepartie ; deuxièmement, le marché de la tokenisation des actifs réels (RWA) et des stablecoins représentant respectivement 57 % et 54 % des parts, devenant le noyau de l'infrastructure financière on-chain ; troisièmement, la vague de fonds des ETF, avec un afflux net de 224 millions de dollars dans le BlackRock ETHA ETF en un jour, pour une taille totale proche de 9,8 milliards de dollars, la part des institutions dans les holdings s'élevant à 27 %. Sur le plan technique, la mise à niveau de Pectra renforce l'évolutivité, et la feuille de route du sharding pave la voie à une capitalisation boursière de mille milliards de dollars. Les institutions estiment que l'ETH possède à la fois des attributs d'"actif productif" et de résistance à la censure, et qu'il est en train de se transformer d'un actif spéculatif en pierre angulaire du prochain système financier.